Passionnants échanges toute la matinée à l’Assemblée nationale à l’occasion du colloque que j’ai organisé autour de l’accès des chercheurs aux #données des administrations afin qu’ils puissent mieux évaluer les politiques publiques.

Par le biais d’un amendement que j’ai porté au projet de loi visant à sécuriser et réguler l’espace numérique voté à l’automne et que le gouvernement a soutenu, l’accès à ces datas des fins scientifiques et d’intérêt général est désormais facilité.

L’objectif est de faire émerger des analyses contra-factuelles et jauger de l’efficacité des dispositifs, en les étudiant sur les moyen et long termes. Sur les sujets d’éducation, d’emploi et d’#mmigration, le débat public n’en sera que plus rationnel et le législateur mieux éclairé pour décider des inflexions à donner aux politiques en la matière.

Il ressort notamment de ce colloque les immenses bénéfices que permettrait une évaluation plus systématisée des politiques publiques par les chercheurs.

Si les progrès en termes d’accès aux données administratives vont être importants grâce au texte SREN, les freins existent toujours, en particulier sur le champ de données accessibles, pour un appariement optimal de celles-ci et sur leurs conditions d’accès. Nous pouvons encore avancer !

Je tiens particulièrement à remercier à Jean-Luc Tavernier, Directeur général de l’INSEE, qui a introduit ce colloque.

Merci également à mes collègues députés Cécile Rilhac Florent Boudié et Astrid Panosyan – Bouvet, les économistes, chercheurs et membres des administrations intéressées qui sont intervenus ainsi évidemment que les trois journalistes Cécile Olivier, Myriam Encaoua et Marc Vignaud qui ont accepté de modérer ces échanges.

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