J’ai participé à la cérémonie des Awards de l’Inclusion économique organisée par la Fondation Mozaik à Bercy.

L’occasion de mettre en lumière les actions de plusieurs dirigeants, d’entreprises et d’institutions en matière d’inclusion, un enjeu à la fois social et économique.

Si des efforts ont été faits, les défis sont encore immenses. Le manque de diversité persiste dans de nombreux milieux professionnels, dû notamment à des comportements discriminatoires plus ou moins inconscients dans le cadre des processus de recrutement.

Victime ou témoin, chacun a déjà observé des discriminations dans le monde du travail, liées au genre, à l’âge, aux origines ou encore à l’adresse d’une personne. Les préjugés subsistent, ainsi que les conséquences personnelles, économiques et sociales néfastes qui en découlent pour les individus. Les conséquences négatives sont également immenses pour notre économie qui se prive de nombreux talents et ce -Hélas !- au détriment de notre cohésion nationale.

Je suis convaincu que tout n’a pas été tenté pour faire reculer les discriminations. Systématiser la pratiques des tests anti discriminations est l’une des voies qui méritent d’être empruntées : c’est l’objet de la proposition de loi que j’ai déposée avec mes collègues Renaissance qui sera examinée dès la semaine prochaine à l’Assemblée nationale.

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